Les faits se sont déroulés rue d'Enghien, au niveau d'un centre culturel kurde, dans un quartier commerçant et animé et notamment prisé de la communauté kurde.
Une enquête a été ouverte sur des chefs d'assassinat, homicides volontaires et violences aggravées. Les investigations ont été pour l'heure confiées à la brigade criminelle avec le 2e DPJ. Le bilan provisoire fait état de deux personnes décédées, et quatre blessés dont deux en urgence absolue, selon le parquet de Paris.
Un homme âgé d'entre 60 et 70 ans a été interpellé et placé en garde à vue. "Son identité est en cours de fiabilisation", selon la même source.
L'homme interpellé, "de type caucasien", "serait âgé d'une soixantaine d'années", selon une source policière, précisant que le bilan des victimes n'est pas définitif.
"L'auteur est interpellé avec son arme, le danger est écarté, ses motivations sont pour l'instant inconnues", a-t-elle poursuivi.
Au croisement de la rue d'Enghien et de la rue d'Hauteville, des brancards étaient amenés dans le calme vers la scène de la fusillade et un périmètre de sécurité était mis en place par la police, a constaté une journaliste de l'AFP.
"Sept à huit coups de feu dans la rue, c'est la panique totale, on est restés enfermés à l'intérieur", a témoigné auprès de l'AFP une commerçante d'un immeuble voisin souhaitant garder l'anonymat.
"On a vu un vieux monsieur blanc rentrer et tirer dans le centre culturel kurde, puis il est allé dans le salon de coiffure à côté. On est réfugiés dans le restaurant avec les salariés", a témoigné Romain, le directeur adjoint du restaurant Pouliche Paris, dans la rue, joint par téléphone.
Selon un autre témoin, un habitant du quartier qui passait dans la rue et interrogé par l'AFP, "il y avait des gens en panique qui criaient à des policiers : +il est là, il est là, avancez+ en désignant un salon de coiffure". "J'ai vu des policiers rentrer dans le salon où il y avait deux personnes à terre, blessées aux jambes, j'ai vu le sang", a-t-il ajouté décrivant des "gens sous le choc et en panique".
Le Centre Ahmet Kaya, nommé en hommage au chanteur éponyme, est une association de type loi 1901 ayant pour objectif de "favoriser l'insertion progressive" de la population kurde installée en Ile-de-France.
Une enquête a été ouverte sur des chefs d'assassinat, homicides volontaires et violences aggravées. Les investigations ont été pour l'heure confiées à la brigade criminelle avec le 2e DPJ. Le bilan provisoire fait état de deux personnes décédées, et quatre blessés dont deux en urgence absolue, selon le parquet de Paris.
Un homme âgé d'entre 60 et 70 ans a été interpellé et placé en garde à vue. "Son identité est en cours de fiabilisation", selon la même source.
L'homme interpellé, "de type caucasien", "serait âgé d'une soixantaine d'années", selon une source policière, précisant que le bilan des victimes n'est pas définitif.
"L'auteur est interpellé avec son arme, le danger est écarté, ses motivations sont pour l'instant inconnues", a-t-elle poursuivi.
Au croisement de la rue d'Enghien et de la rue d'Hauteville, des brancards étaient amenés dans le calme vers la scène de la fusillade et un périmètre de sécurité était mis en place par la police, a constaté une journaliste de l'AFP.
"Sept à huit coups de feu dans la rue, c'est la panique totale, on est restés enfermés à l'intérieur", a témoigné auprès de l'AFP une commerçante d'un immeuble voisin souhaitant garder l'anonymat.
"On a vu un vieux monsieur blanc rentrer et tirer dans le centre culturel kurde, puis il est allé dans le salon de coiffure à côté. On est réfugiés dans le restaurant avec les salariés", a témoigné Romain, le directeur adjoint du restaurant Pouliche Paris, dans la rue, joint par téléphone.
Selon un autre témoin, un habitant du quartier qui passait dans la rue et interrogé par l'AFP, "il y avait des gens en panique qui criaient à des policiers : +il est là, il est là, avancez+ en désignant un salon de coiffure". "J'ai vu des policiers rentrer dans le salon où il y avait deux personnes à terre, blessées aux jambes, j'ai vu le sang", a-t-il ajouté décrivant des "gens sous le choc et en panique".
Le Centre Ahmet Kaya, nommé en hommage au chanteur éponyme, est une association de type loi 1901 ayant pour objectif de "favoriser l'insertion progressive" de la population kurde installée en Ile-de-France.
Avec AFP